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zoppas
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443 commentaires - suivi par 12 personnes
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A laissé un commentaire sur l'article :
>Quand un État s’improvise banquier….  - Frédéric Wauters - 
La différence entre un français et un nordique (scandinave ou un batave), c'est que le nordique cherchera toujours le compromis alors que le français recherche l'affrontement. Cela permet aux européens du nord d'être pragmatiques, et de trouver des solutions adaptées aux problèmes qui se posent à un moment donné.

Les nationalisations des banques de 1981 avaient pour but de durer dans le temps. Elles ne se sont pas faites en période de crise systémique. Elles ne sont pas du tout comparables à des nationalisations temporaires lorsque l'Etat se doit d'être l'investisseur en dernier ressort et la banque centrale le preteur en dernier ressort.

Quelque soit les gains passés des actionnaires ou la rémunération des dirigeants, lorsqu'une banque privée va au tapis, il est logique que les actionnaires perdent leur mise et que les dirigeants soient remplacés.

Vous parlez d'une amélioration considérable du niveau de vie en un temps record, je ne suis pas d'accord avec vous. Mais c'est un long débat.

Les actionnaires des banques sont soit anonymes dans des paradis fiscaux, soit des companies d'assurance dont une part de leurs actionnaires est dans les paradis fiscaux, soit des fonds de pension ou des OPCVM, soit des petits porteurs. En cas de faillite d'une banque, c'est pas de jaloux, tous les actionnaires perdent leur mise. C'est tout de même la base du capitalisme, non ?


Commenté
il y a 4533 jours
-
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Début de l'article :Qui n’a jamais entendu quelqu’un réclamer la nationalisation des banques ? À en croire ses thuriféraires, cette idée est la seule réponse rationnelle aux « excès du capitalisme débridé ». Sous l’égide bienveillante – mais vigilante – des représentants de la Nation, les banques nationalisées investiraient prudemment l’argent que les citoyens leur auraient confié... Lire la suite
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