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Ansart
Membre depuis mai 2012
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>Le mariage: institution ou contrat?  - Frédéric Wauters - 
Ici, la confusion est aussi bien culturelle que mentale, assez considérable, mêlant religion et droit civil, sans référence à quelque organisation sociale que ce soit. De tous temps, la famille, fondée sur l'alliance d'un homme et d'une femme, a constitué la cellule de base de toutes sociétés. les religions, pour leur part, n'ont fait que renforcer et institutionnaliser cette cellule, avec assez peu de variantes depuis des siècles. En occident la civilisation ne s'en est pas mal portée, au contraire, puisque son rayonnement n'a pas été jusqu'ici trop négligeable. Vouloir abolir cette institution, en disant "advienne que pourra" des incidences "collatérales", c'est négliger ces "à cotés" que sont la filiation et tous les droits civil attachés à cette notion, successions, donations, notion de foyer et d'organisation sociale, notions de consanguinité, d'inceste, et différentes précautions sanitaires. Si les parents portent désormais de numéros, quel sera celui des frères et soeurs , cousins, cousines, oncles et tantes ( mais , s'ils sont asexués, cela divisera ces nécessités par deux, il est vrai), si tant est qu'ils continuent à exister, ce qui peut être perçu comme une intolérable contrainte. Bien entendu l'intérêt des droits de l'enfant (privé d'un père et d'une mère,avec les traumatismes observés par les dernières études, honnêtement menées sur une durée suffisantes pour interroger des adultes adoptés, en nombre, et non des candidats homosexuels en "désir" d'enfant) tel que reconnu par les peuples en général, les institutions comme l'ONU, la Cour européenne de justice, sont des facteurs non évoqués, et négligeables puisqu'il sera bientôt autorisé, par une dérive naturelle (et déjà observée dans ce genre de situation, telle la remise en cause, en catimini, des lois éthiques récentes) à des reproductions humaines artificielles pour suivre les bons conseils du professeur Aldous Huxley.
Est-ce bien démocratique d'accepter une transformation fondamentale de la société sur le simple désir d'une petite minorité ou d'un Président dont ce n'est aucunement la mission (il est vrai que pour lui la famille ne semble pas être une notion fondamentale) sans autre débat que de rapides échanges de vue en pure perte de députés "godillots" tout neufs se croyant investis d'une mission contre-civilisatrice. Certes les sondages ne sont pas toujours représentatifs, mais un nombre de plus en plus grand indiquent le désaccord profond de la population générale, et ceux menés auprès de responsables ou associations spécialement intéressées (Sécurité sociale, association des maires de France, certaines associations "gays" elles mêmes qui ne sont pas demandeurs, représentants des religions , pas seulement une), de multiples juristes, également les différentes pétitions signées par un nombre de citoyens non négligeable, s'élèvent contre cette absurdité d'un projet qui ne peut être qu'une provocation déstabilisatrice et un rideau de fumée destiné à voiler l'incapacité de nos dirigeants actuels à résoudre les vrais difficultés qui se présentent au pays. De quelles discriminations seront victimes les citoyens, sans aucun doute majoritaires, qui ne voudront pas abandonner un ordre social qui a fait ses preuves, (c'est le moins que l'on puisse dire!) et qui seront contraints par une loi qu'on pourra dire scélérate, à subir le viol de leurs convictions les plus intimes, sans recours possible à une quelconque objection de leur conscience ?
De grâce ! réfléchissons avant de jouer aux apprentis sorciers !


Commenté
il y a 4337 jours
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Début de l'article :Les réactions à ma dernière chronique ont été nombreuses, et plus virulentes. Preuve que le sujet déchaîne les passions. Or, la passion est une émotion, peu compatible avec la froide logique de l’argumentation rigoureuse. Cependant, je tiens à remercier les lecteurs qui se sont exprimés et répondre à leurs objections... Lire la suite
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