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(Non) réduction progressive des dépenses

James Howard Kunstler Publié le 09 décembre 2013
713 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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Souvenez-vous que la triste et solitaire figure de Ben Bernanke se tient (ou s’avachit) au sommet d’une pyramide de faux-fuyants si haute et si large que tous les serfs de la dette du futur ne parviendront jamais à reconstruire ne serait-ce que ses contours hypothéqués. Quand le monde renaîtra des cendres du paysage financier qui aujourd’hui est prêt à partir en fumée, plus personne ne sera capable d’expliquer comment le monde moderne s’est garanti au point de mettre fin à sa propre existence. Quelle mise en scène ! Bernanke a donné aux marchés financiers cinq mois de frousse incontrôlable ponctués d’une grosse feinte pour que le consensus se voie enfin donner le feu vert de poursuivre l’inflation du prix des actifs. C’est pourquoi je me tiens hors du consensus. Le prix des actifs, dont l’immobilier et la bourse, peuvent gonfler autant qu’ils veulent sur le chemin du plus terrifiant déraillement de la monnaie organisée dont nous n’ayons jamais fait l’expérience. Le Dow à 20.000 points accélère le mise en évidence de la perte de confiance envers les représentations papier de la rich...
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