Le tout premier, Jeroen Dijsselbloem, le président de l’Eurogroupe, avait évoqué le renflouement des banques chypriotes comme allant servir de modèle pour l’avenir, avant de devoir se rétracter devant le tollé. Mais la suite des évènements lui a finalement donné raison, avec l’adoption d’une méthode permettant d’afficher une contribution prioritaire – bien que risquant d’être pratiquement limitée – des actionnaires et de certains types de créanciers. Serait-ce à dire que ses déclarations au quotidien Le Figaro doivent retenir toute l’attention ?
Il annonce d’abord que le FMI ne participera pas à d’autres plans de sauvetage que ceux qui sont déjà en cours, celui de Chypre étant donc le dernier. Conclusion logique des désaccords entre le fonds et ses deux partenaires de la Troïka, la BCE et la Commission, ...
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