2012, la saga continue. Cette saga, c’est la mort de la finance à la Ponzi et fin d’un modèle économique illusoire qui a besoin de l’appréciation des actifs générée en empilant levier financier sur levier financier pour essayer de trouver de la croissance.
A l’heure actuelle, il est impossible de déterminer si l’effondrement de notre système financier et monétaire se produira cette année ou bien dans dix ans. Les questions auxquelles je tenterai de répondre dans cette analyse économique de 2012 ne concernent uniquement que les fluctuations de moyen-terme étant observables au sein de notre économie, de notre système financier et de nos sociétés.
S’il est une chose dont nous pouvons être certains, c’est que la destruction des devises, des systèmes financiers et des économies de notre monde développé est inévitable, et tout aussi prévisible que le destin d’une étoile étant entrée en orbite autour d’un trou noir. Le trou noir dont sera bientôt victime le monde développé ne sera autre que la disparition des revenus des économies centralisées, des Etats-providence, du capitalisme de copinage, de la régulation, de la taxation, et de la création incessante de monnaie… un cocktail toxique de destruction de richesse.
Explosion de l’incertitude et entrave à la croissance
La dépression a été inscrite dans la loi aux Etats-Unis par les des socialistes progressistes qui ont pu profiter d’une importante majorité législative de 2008 à 2010, notamment par le biais, premièrement d’une expansion permanente du gouvernement (20-25%), mieux connue sous le nom de loi Obama Care sur le stimulus (qui ne représente ni plus ni moins une expansion de l’étatisation de l’économie, de la politisation, et des privilèges accordés aux contributeurs de campagne les plus généreux), ainsi que de l’industrie des services de santé et de Dodd Frank (augmentation des politiques de régulation et de l’allocation de crédit). Ces lois enserrent tels des pythons les économies de notre monde. Et secondement par le ralentissement du rythme cardiaque de l’économie, en l’étouffant chaque année de 80.000 nouvelles pages de projets de régulation (généralement vendues au plus offrant du groupe lobbyiste K Street, les plus important contributeurs financiers aux campagnes des hommes politiques des Etats-Unis) écrites en hâte par des ...
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