« Il n’y a pas loin du Capitole à la Roche Tarpéïenne ».Voilà une expression qui nous vient de loin, de très loin et qui parle d’une constante, vieille comme le monde.
Nous pourrions dire grandeur et décadence ou encore stupeur et tremblement.
Airbus, ce n’est pas rien.
C’est un monument.
Un monument économique, et aussi un symbole politique parce c’est l’emblème de la construction européenne, c’est l’étendard de l’excellence de l’Union, ce qu’il y a de meilleur. Bref, Airbus, c’est Airbus et aujourd’hui même Airbus vacille.
Voici ce qu’en dit le Figaro après les annonces faites par le président du groupe.
« Airbus a publié une sombre évaluation de l’impact de la crise du coronavirus, demandant aux 135 000 employés de la société de se préparer à des réductions d’emplois potentiellement plus importantes qu’annoncées et avertissant que sa survie est en jeu sans action immédiate ».
« Dans une lettre aux employés envoyée vendredi, le président exécutif de l’entreprise, Guillaume Faury écrit qu’Airbus « perd de l’argent à une vitesse inédite » et qu’une baisse d’un tiers ou plus des taux de production ne reflète pas le pire des scénarios pour la ...
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