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Analyser le bouquet final

James Howard Kunstler Publié le 09 octobre 2016
893 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
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Tout ce qu’Hillary a eu à faire la semaine dernière a été de monter sur un podium et se tenir droite pendant 90 minutes sans s’évanouir alors que Donald Trump s’aboyait et se grognait un chemin au travers de la représentation d’incompétence qu’a été la conférence de presse que nous aimons appeler « débat ». Et j’ai dû faire preuve des mêmes efforts pour regarder l’écœurant spectacle jusqu’au bout. De quoi vous donner envie de marteler votre téléviseur avec la télécommande, ou de lui tirer une balle en plein écran, comme l’aurait fait Elvis. La tourmente qu’est de choisir pour qui ou pour quoi voter est devenue intolérable. Je pensais offrir ma voix à Johnson / Weld, jusqu’à ce que Gary Johnson nous prouve avoir perdu la partie frontale de son cerveau. Aleppo ? N’était-il pas l’un des frères de Marx ? J’ai le sentiment que Jill Stein, le candidat des Verts, est plus un guerrier de la justice sociale que de l’écologie, et la dernière chose que je souhaite est de voir le reste des Etats-Unis devenir un gigantesque campus truffé de mentions d’avertissement et d’actions en justice pour micro-agression. Voter pour Trump ? Pas avant que vous m’ayez enchaîné à l’arrière d’une Toyota Landcruiser et m’ayez traîné sur dix kilomètres d’ampoules brisées. Hillary ? Pas avant quinze kilomètres. Et ajoutez des punaises. Mais atten...
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