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Assurances et objets connectés (2) : les limites du consentement

Nils Sinkiewicz Publié le 04 décembre 2014
527 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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Une récente étude du cabinet Towers Watson révèle que 79% des automobilistes américains envisagent de souscrire à une assurance « à l'usage » (usage-based). Réduire les coûts en réduisant les risques – c'est l'atout-clé de ces nouvelles offres rendues possibles par le développement des objets connectés. Un cercle vertueux pour ceux qui ont décidé d’y souscrire, mais peut-être pas pour tous les assurés. Des offres classiques aux offres connectées Le problème posé par l'assurance personnalisée ne vient pas de l'opportunité de payer sa cotisation moins cher en acceptant de se laisser surveiller, mais du fait qu'il pourrait devenir de plus en plus coûteux de ne pas saisir ladite opportunité. Supposé que la préférence pour l'offre usage-based s'explique par la recherche du meilleur prix (et non l'envie d'améliorer son comportement),...
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