6312 search

Bâle III : réintroduisons le (vrai) capitalisme dans les banques

Alex Korbel Publié le 29 janvier 2013
692 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
Lire plus tard

Les faiseurs de règlementation sont un peu comme les généraux à la retraite : ils rejouent sans cesse la guerre d’hier. Il faudra encore une catastrophe économique avant de savoir avec certitude si les nouveaux accords de Bâle, signés le 6 janvier 2013, répondent vraiment à leur objectif. Je ne suis pas optimiste. Aucune tentative planifiée et grossière de rendre plus sûr un système complexe ne peut fonctionner. Mais il est possible que beaucoup de ces nouvelles règles seront bénéfiques et la décision des règlementateurs de ne pas tarir arbitrairement la disponibilité du crédit est la bienvenue. Avant la crise, les banques n'avaient pas les fonds propres suffisants pour se protéger contre leurs pertes. La plupart des actifs qu'elles détenaient étaient de mauvaise qualité. Les banques ne faisaient que suivre des règles générales, telles qu'elles sont codifiées dans les précédents accords de Bâle, mais celles-ci étaient lacunaires et récompensaient les mauvais comportements. Le désordre, fruit de la réglementation À chaque fois que le réglementateur intervient, les normes minimales ...
Cet article est reservé uniquement pour les membres Premium. 75% reste à lire.
Je me connecte
24hGold Premium
Abonnez-vous pour 1€ seulement
Annulable à tout moment
Inscription
Articles en illimité et contenus premium Je m'abonne
Editoriaux
et Nouvelles
Actions
Minières
Or et
Argent
Marchés La Cote
search 6312
search