La question des amendes payées par les banques depuis la crise est une kolossale supercherie. Vingt des principales banques mondiales ont payé 210 milliards d’euros d’amendes et d’indemnités sur les sept dernières années pour une série d’infractions, de délits et de comportements répréhensibles légalement et moralement.
L’ampleur de ce montant, qui équivaut à une année de produit intérieur brut (PIB) de la Grèce ou du Portugal, freinerait les dividendes versés aux actionnaires et limiterait leur capacité à prêter. Voilà la propagande, comme si les banques en avaient tenu compte !
Les dividendes ont été versés grâce aux entourloupes comptables qui permettent de porter à l’actif des valeurs fictives manipulées et manipulables, par le Mark to Fantasy et la fiction de la conservation à géométrie variable jusqu’à l’échéance.
Les dividendes, en grande partie distribués sur des résultats fictifs, ont été distribués dans le cadre d’une politique avalisée au plus haut niveau de « extend and pretend ». L’idée est tenir jusqu’à l’amélioration suffisante pour pouvoir pre...
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