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C’est du capitalisme et non de la démocratie, que les pays arabes ont le plus besoin

Damien Theillier Publié le 24 juin 2014
861 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
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Pour quelles raisons les entrepreneurs arabes ne parviennent-ils pas à exploiter pleinement leur potentiel afin d’amener la prospérité, tant pour eux-mêmes que pour leurs pays ? Pourquoi l'économie tunisienne est-elle en panne alors que le pays dispose d'une richesse considérable en ressources humaines et entrepreneuriales ? L’économiste péruvien Hernando de Soto prétend que l'Occident a fondamentalement mal interprété le printemps arabe déclenché dans la ville tunisienne de Sidi Bouzid après le suicide du jeune Mohamed Bouazizi, le 17 décembre 2010. Selon lui, Bouazizi et ceux qui se sont immolés après lui, protestaient au nom des 380 millions d'Arabes qui sont privés de toute protection juridique de leur propriété et du droit élémentaire de travailler, de vendre et d’acheter. En 2013, une étude sur l'état de l'économie tunisienne a été menée conjointement par l’Institut pour la liberté et la démocratie (ILD), que préside l’économiste Hernando de Soto, et l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA). Les travaux de l’Institut pour la liberté et la démocratie (ILD), portent sur le rôle de l'accès aux droits de propriété dans l'émancipation et l'enrichissement des populations défavorisées. L’étude menée en Tunisie a été fondée sur des observations quotidiennes, l’écoute des plaintes d’entrepreneurs de l...
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