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Comment le marché libre met fin à la discrimination

Tom DiLorenzo Publié le 21 janvier 2014
914 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
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lewRockwell

Quand Branch Rickey a formé la Ligue nationale de baseball en 1947 et choisi le grand Jackie Robinson pour jouer première base pour les Brooklyn Dodgers, il ne l’a pas fait parce que des lois sur les « droits civiques » le lui imposaient. Les lois fédérales sur les droits civiques ne sont entrées en existence que vingt ans plus tard. Il n’était pas non plus motivé par une soudaine révélation quant à la question de l’égalité entre les races. En tant que manager des Brooklyn Dodgers, Rickey était payé pour rendre son équipe aussi profitable que possible. Et pour ce faire, il a dû recruter et entraîner les meilleurs joueurs de baseball sur lesquels il a pu mettre la main, ce peu importe leur couleur de peau. Et le recrutement de Robinson lui a immédiatement profité, puisque les Dodgers ont intégré la même année les tournois mondiaux, grâce en grande partie aux efforts de Jackie Robinson. L’histoire de Branch Rickey et de Jackie Ribonson illustre les lois économiques de la discrimination, que les économistes modernes associent aux lauréats du prix Nobel Gary Becker et Kenneth Arrow, qui ont tous deux écrit un livre sur le sujet en 1957 et 1971 respectivement. Leur théorie est simplissime : si un employeur exploite un employé en raison de sa couleur de peau ou pour quelque autre raison que ce soit, alors l’employé en question est payé bien moins que sa productivité marginale (sa con...
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