L’Offshoreleaks, comme on l’appelle maintenant en référence au Wikileaks, n’en est qu’à ses débuts pour ceux qui s’inquiéteraient de son rendement et de la moisson limitée de révélations publiées, et ses rebondissements ne font que commencer. Le travail de décryptage de l’invraisemblable quantité de données est gigantesque, et encore plus leur analyse. Et les deux entreprises dont les données proviennent avaient pour l’essentiel leur clientèle en Asie et dans les territoires de l’ancienne URSS, ce qui explique que peu de noms européens apparaissent.
Les réactions ne se sont pas fait attendre, donnant la mesure de l’évènement. Celle de l’OCDE, qui marche sur des œufs pour avoir mis l’éteignoir sur le dossier et qui prétend aujourd’hui qu’il y a « une base légale pour mener des enquêtes » (sous-entendant grâce à elle), alors que leurs moyens n’ont jamais été le principal problème. « L’information est maintenant publique » reconnait dans une interview à l’AFP Pascal Saint-Ama...
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