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Du bon usage de l'aide sociale comme un piège à pauvres

Vincent Bénard Publié le 31 mars 2008
803 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
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Objectif Liberté

Diaboliques effets de seuil... Deux exemples, en France et en Angleterre, nous montrent concrètement comment des aides sociales désordonnées tendent à maintenir les plus pauvres sous perfusion. En France, selon contribuables associés, un RMIste ne trouvera que peu d'intérêt à reprendre un travail, même avec la nouvelle prime inventée par le gouvernement, le RSA : Actuellement un RMIste qui reprend du travail perd non seulement le RMI mais aussi la CMU complémentaire, l’exonération de taxe d’habitation, de redevance audiovisuelle, de CSG-CRDS, une réduction sur sa facture de téléphone, et différentes aides locales, comme la gratuité des transports, des tarifs spéciaux de cantine pour ses enfants, des aides pour la crèche, la prise en charge de l’eau, du gaz et de l’électricité (de 30 à 50 %), la garde d’enfants pendant sa formation, des tickets loisirs (NdVB: !!!), la suspension de ses dettes fiscales, des aides pour le permis de conduire, des distributions de nourriture et de vêtements. Il perdra sans doute aussi son « microcrédit professionnel » de 3 000 euros et le paiement de ses loyers par le Fonds de solidarité pour le logement. Et encore, je suis sûr qu'ils en oublient. En Grande Bretagne, le même phénomène existe, et a été aggravé ...
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