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Et maintenant, un peu de résistance active

H. Seize Publié le 26 juin 2013
1866 mots - Temps de lecture : 4 - 7 minutes
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Aujourd’hui, passons aux travaux pratiques ! Certes, la France s’enfonce doucement dans le tiers-monde, mais ce n’est pas une raison pour rester les bras croisés, à regarder la télé en mangeant des chips. Au contraire. Voici quelques pistes à explorer. Il est en effet nécessaire, une fois de temps en temps, de mettre la main à la pâte et d’exercer un peu notre capacité d’action sur les choses du monde matériel. Mais attention : avant tout, utilisons notre intelligence. En effet, si, pour certains, l’action consiste surtout à aller taper sur les autres (avec un succès parfois mitigé), lorsqu’il s’agit de faire quelque chose de vraiment utile, qui aide à débloquer la situation, il faut vraiment taper là où ça fait mal. Pour le libéral qui tente de survivre en France, les circonstances actuelles sont devenues proprement invivables. Chaque jour qui passe est une nouvelle ode à la taxation, à la répression du talent, à l’écrasement des motivations, et l’occasion renouvelée, pour la classe politicienne, de débiter des inepties de plus en plus énormes. Chaque jour qui passe est, véritablement, l’opportunité pour ceux qui nous gouvernent, ainsi que toutes les institutions qui sont à leurs ordres, de rogner un peu plus sur nos libertés. Chaque jour qui passe en France est une nouvelle façon d’assombrir l’avenir de ceux qui entendent mener leur vie honnêtement, et d’accroître l’emprise des parasites qui se nourrissent de ces trop aimables idéalistes. Et lorsqu’on se fait attaquer, il faut, à un moment ou un autre, se protéger. Et si l’on sait comment, il faut même répliquer. Organisez votre fuite à l’extérieur. Certains ont déjà suggéré, devant l’appétit du Léviathan, la solution évidente qui consiste à l’affamer. Concrètement, cela veut dire que tous ces Français qui le peuvent ont le devoir de quitter le pays, en emportant avec eux le maximum de ce qu’ils pourront, que ce soit fortune, intelligence, force de travail ou perspectives d’investissement, d’innovation, de motivation pour le pays. Du point de vue de l’individu pourchassé par l’État, il faut savoir couper ses pertes. En effet, chaque étudiant qui ne revient pas, chaque expatrié qui ne paye plus ses impôts en France, chaque travailleur qui s’en va consommer ailleurs sont autant de coups de canifs dans le Léviathan. Chaque départ d’une intelligence, d’une force ou d’une richesse est un message de plus lancé à la clique politicienne pour dire « Cela suffit, cela se fera sans moi ». C’est une opportunité de moins que l’État spoliateur aura de perdurer, de laisser les profiteurs continuer leur petit jeu de ponction. Cependant, si, à l’évidence, ces actes affament progressivement le plus froid des monstres froids, force est de reconnaître qu’ils ne sont pas à la portée de tous. Le combat, s’il peut se mener de l’extérieur, coûte beaucoup : on doit se couper de ses ...
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