Le moins que l’on puisse dire, c’est que Cécile Philippe, docteur en économie de l’Université de Paris Dauphine et fondatrice de l’Institut économique Molinari, (www.institutmolinari.org), sorte de think tank d’inspiration américaine dont l’objectif est d’analyser les politiques publiques en France et au niveau européen, ne craint pas la polémique.
En effet, dans son ouvrage « C’est trop tard pour la terre », édité en mars 2007 chez JC Lattès dans la collection « idées fausses, vraies réponses », Cécile Philippe s’interroge avec brio sur la pertinence de quelques-uns des principaux dogmes actuels. Elle passe ainsi en revue le principe de précaution, le réchauffement climatique, les OGM, la fin du pétrole, le protocole de Kyoto et le développement durable. Occasion pour elle de démêler le vrai du faux, de démonter « l’alarmisme environnemental » et surtout de mettre en garde contre les « politiques qui surfent avec enthousiasme et démagogie sur la vague écolo ». Car pour Cécile Philippe, « les ...
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