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FAUSSES SORTIES EN SÉRIE

Paul Jorion Publié le 03 janvier 2014
641 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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Le fait de sortir d’un plan de sauvetage vaudrait-il satisfecit d’une politique en déroute ou représentera-t-il simplement un soulagement très relatif pour ceux qui en subissent les effets ? Même la seconde de ces hypothèses est hasardeuse. Après l’Irlande, l’Espagne, la Grèce et le Portugal vont chacun tenter de tourner une terrible page. Mais au-delà du symbole, rien ne va changer et le retour sur le marché n’aura rien de la rentrée triomphale annoncée. Les banques espagnoles auront absorbé 41,3 milliards d’euros d’aide du Mécanisme européen de stabilité (MES), via l’État espagnol dont la dette aura gonflé d’autant, qu’elle soit ou non comptabilisée dans le calcul du seuil fatidique de 60%. Mais elles accumulent un taux de créances douteuses de 13% et un stock de 1,5 millions de logements reste invendu sur le marché, dont elles supportent le poids financier. Les fonds d’investissement se précipitent de l’étranger vers ces soldes de rêve mai...
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