Sir Alan Greenspan, architecte du système de franchise de banques centrales en faillite, qui a offert une couverture monétaire et politique pour le pillage Rubin-Clinton dans les années 90 et le pillage Bush-Paulson dans les années 2000, s’est avancé sur la scène avec deux messages. Il ne partira pas ! Greenspan semble être l’un de ses meilleurs critiques historiques, sans reconnaissance de son nouveau rôle. Il ne peut pas s’empêcher d’offrir de la critique, un procédé qui mine son propre héritage.
Greenspan nous avertit à propos de fonds propres inadéquats des banques. Il devrait plutôt déclarer la plupart des grandes banques insolvables et même déjà cadavériques.
Pendant ce temps, plus près de chez nous, lors d’une conférence économique aux USA, Greenspan a admis que le cours de l’or est un phéno...
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