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Il faut en finir avec tout ce fun qui pollue

H. Seize Publié le 19 août 2018
1425 mots - Temps de lecture : 3 - 5 minutes
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Hashtable

Les années passent et les constats restent les mêmes : il n’est jamais trop tard et on ne fait jamais assez de propagande contre les méchants humains qui polluent. Ce qui était vrai en 2014 l’est encore plus de nos jours, quitte à complètement oublier les échecs répétés des prévisionnistes de malheur (exemple au hasard : ce magnifique article du Monde de 2012, prévoyant une disparition de la banquise arctique en 2016… Ce qui ne s’est jamais produit, au contraire). Au passage, on attend avec gourmandise le bilan en 2023, après 4 années de soi-disant réchauffement caniculaire ; parions qu’aucun mea culpa ne sera émis en cas d’échec (cuisant). En attendant, la propagande anti-Humanité, anti-progrès, anti-tout continue. Et si, en plus, elle permet d’écrabouiller dans l’œuf ces festivités qui n’ont pas reçu l’imprimatur écolo, c’est encore mieux… On le sait, je l’ai déjà écrit à de multiples reprises, l’humain est plus qu’un fardeau pour cette Terre : c’est, véritablement, une nuisance. Et une nuisance qu’il est même devenu simple de quantifier : un peu en dessous de l’astéroïde qui décima les dinosaures, mais pas tant que ça. Car oui, l’humain est responsable d’une véritable extinction de masse. Pour rappel, la dernière extinction de masse, survenue au crétacé-tertiaire, serait due, selon la théorie la plus solide actuellement, à un gros caillou (d’une dizaine de kilomètres de diamètre) ayant heurté la Terre au niveau du Mexique. L’humain n’existant pas à l’époque, il n’a pas pu être blâmé pour cette extinction et cette diminution tragiques de la biodiversité, mais rassurez-vous, il n’en va pas de même aujourd’hui. Grâce à la conjonction d’une étude, réalisé à Stanford et qui manipule le conditionnel et les précautions rhétoriques par packs de douze, et à une presse déchaînée qui ne s’embarrasse pas, elle, de ce conditionnel et de ces précautions, on apprend que l’humain est directement responsable de la sixième extinction de masse sur la planète. Vous avez bien lu, on parle en effet d’extinction de masse, rien de moins, et provoquée par l’Humain avec ses petits bras. Enfin, petits, pas tant que ça. D’abord, l’humain a le mauvais goût d’être très nombreux, de péter, de ro...
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