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Il n’y a pas de plus forte fièvre que la fièvre de l’or

Chroniques de l'or Publié le 14 octobre 2009
495 mots - Temps de lecture : 1 - 1 minutes
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Antal E. Fekete.

Il est essentiel de comprendre la différence fondamentale entre une matière première monétaire et une matière première non-monétaire pour pouvoir comprendre qu’un déport durable de l’or signifie que l’or n’est plus à vendre à n’importe quel prix. La conséquence est qu’il n’y a rien d’aussi puissant que la fièvre de l’or. La fièvre de l’or ressemble à la danse de Saint Guy qui a submergé le monde chrétien juste avant l’an mille, affectant tous ceux qui s’attendaient la fin du monde à ce tournant vers un nouveau millénaire. La fièvre de l’or à venir doit être distinguée de la « tulipomanie » de février 1637, où une seule tulipe put valoir l’équivalent de 20 fois le revenu annuel d’un ouvrier qualifié. La fièvre de l’or est aussi différente ...
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