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Investissements d'avenir ou gabegie à venir ?

Nils Sinkiewicz Publié le 22 mai 2013
555 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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S'expliquant sur la cession de parts de l'État dans Safran et EADS, le ministre de l'Économie Pierre Moscovici a assuré les Français qu'il ne s'agissait pas là d'un « retour des privatisations » : pas question pour « l'État stratège » d'abandonner son poste, bien au contraire – l'heure est à l'investissement. Et c'est loin d'être rassurant quand on sait ce qu'investir signifie pour le gouvernement. Une définition large de l'investissement Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault l'a clairement expliqué : l'argent récolté ne servira pas à « boucher les trous du budget », il sera investi pour stimuler la croissance. Autrement dit, pas de nouvelles dépenses en vue. L'ennui, c'est que cette distinction entre dépenses et investissements ne correspond pas à la réalité. Cela tient aux fondements théoriques des politiques de relance par la demande....
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