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Italie, Espagne : le risque est masqué, mais il demeure bien réel

Philippe Herlin Publié le 23 janvier 2014
550 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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Les taux sur les dettes italiennes et espagnoles ont atteint des niveaux élevés durant les années 2011 et 2012, par moment 7%, un taux considéré comme "mortel", car impliquant un effet boule de neige menant rapidement au défaut. Mais sur l’année 2013 et en ce début de 2014, ces taux s’affichent autour de 4%, le tout dans une faible volatilité. Faut-il considérer que la crise affectant l’Europe du Sud est terminée ? Ce serait aller un peu vite. En apparence les choses vont mieux, les CDS sur les banques italiennes et espagnoles ont également baissé, les indices boursiers progressent. Mais qu’en est-il de l’économie réelle ? La production industrielle, l’investissement, le crédit aux ménages et aux entreprises, et les permis de construire, qui se sont écroulés lors de la crise de 2008, demeurent atones et ne montren...
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