Cela peut sembler contradictoire, mais c’est en réalité très cohérent.
Si à courts termes les prix du pétrole pourraient baisser parce que la croissance économique faiblissant, la consommation va suivre la même pente, à moyens et longs termes, c’est la raréfaction des ressources qui nous guette et qui finira par avoir un impact sur les prix de l’énergie.
A la fin de la première guerre du Golfe, on l’a oublié, le cours du baril de pétrole est descendu à 11 dollars… oui, 11 dollars seulement.
Lors d’une rencontre entre la Russie et l’Arabie saoudite, les Russes ont dit voir « de grands risques de surproduction » de pétrole dans le monde, n’excluant pas une chute des prix sous 40 dollars.
« Il existe actuellement de grands risques de surproduction », a constaté le ministre russe de l’Energie Alexandre Novak après une rencontre à Moscou avec son homologue saoudien, Khaled al-Faleh.
Pourtant au même moment, il ...
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