6287 search

L’ère de la planification centralisée touche à sa fin

Phoenix Capital Publié le 13 septembre 2016
900 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
Lire plus tard
Gains Pains & Capital

Le plus gros problème de la structure de pouvoir politique et financier actuelle est la fin de la centralisation. Avant la crise de 2008, les globalistes ont fait tout leur possible pour maintenir le système en place. La classe des multimilliardaires, notamment ceux qui ont tiré leur fortune du capitalisme de copinage et de l’économie des bulles, s’est alliée aux médias keynésiens pour convaincre le monde que sa seule option de survie était l’offrande de trillions de dollars à ceux qui étaient jugés être « systémiquement importants ». Warren Buffet en était l’exemple parfait. Buffet a fait fortune en se présentant comme un grand défenseur du capitalisme qui tirait sa fierté de ne jamais perdre d’argent sur ses investissements. Mais à l’approche de 2008, il a fait face à la possibilité de voir sa fortune réduite de moitié. Il est parvenu à convaincre le public qu’il était encore quelqu’un de bien, tout en faisant pression en faveur de plans de refinancement pour les firmes sur lesquelles il était le plus investi : Goldman, Wells Fargo, etc. Et Buffet n’était pas le seul dans son cas. Il est simplement le plus connu aujourd’hui. Que les choses soient claires : les plans de refinancement de 2008 et les injections de monnaie qui les ont accompagnés ont complètement trahi le capitalisme. Les conséquences en ont précisément été ce dont nous aurions pu nous attendre de la planification cent...
Cet article est reservé uniquement pour les membres Premium. 75% reste à lire.
Je me connecte
24hGold Premium
Abonnez-vous pour 1€ seulement
Annulable à tout moment
Inscription
Articles en illimité et contenus premium Je m'abonne
Editoriaux
et Nouvelles
Actions
Minières
Or et
Argent
Marchés La Cote
search 6287
search