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L’Union européenne : un Lehman Brothers aux 46 trillions de dollars ?

Phoenix Capital Publié le 09 mai 2016
765 mots - Temps de lecture : 1 - 3 minutes
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Et dire que l’assouplissement quantitatif était perçu comme la solution à tous les problèmes de l’Union européenne. En 2012, au plus profond de la crise bancaire européenne qui est passée très près de faire s’effondrer le système financier de l’Union européenne, Mario Draghi a promis de faire tout le nécessaire pour maintenir l’Union sur pieds. Tous ceux qui savaient ce qui se passait à l’époque ont su qu’il bluffait. Les chefs de la BCE et de l’Union européenne avaient déjà défié sinon brisé toutes les promesses des traités de Maastricht et de Schengen (les législations qui ont donné vie à l’Union). Même aux yeux des analystes les plus cyniques, Mario Draghi tendait son enveloppe avec un peu trop d’insistance. La mise en place de contrôles des capitaux et frontaliers limite la liberté, mais du point de vue des politiques monétaires, ces contrôles ne sont que secondaires. Le pouvoir véritable réside en la presse à imprimer. C’est en ce sens que la promesse de Draghi de sauver l’Union européenne diffère de toutes ses autres actions : elle remet en cause la structure du composant le plus essentiel de l’Union européenne, le contrôle de sa devise. Il a fallu deux...
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