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La BCE et la Banque du Japon coincées dans la contrefaçon

Michael Pento Publié le 18 juillet 2016
968 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
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Delta Global Advisors

La Fed a été en mesure de mettre fin à ses campagnes d’assouplissement quantitatif aux 3,7 trillions de dollars sans mettre le feu à l’économie et au marché boursier. La fin de son programme de QE3 en octobre 2014 a causé une débâcle temporaire sur les moyennes majeures, mais en fin de compte, n’a pas généré un déclin soutenu du marché ou fait plonger l’économie dans une récession prolongée. Beaucoup ont alors pensé que la stratégie de la Fed d’établir des manipulations sans précédent des taux d’intérêt et des politiques monétaires avait été un succès, et que les taux des fonds fédéraux pourraient bientôt grimper sans impunité. Peut-être est-ce cette assurance qui a poussé la remplaçante de Ben Bernanke, Janet Yellen, à redresser les taux d’intérêt une première fois en décembre 2015. En revanche, dès que la Fed a relevé ses taux, le marché boursier a enregistré son pire début d’année de l’Histoire. Le Dow Jones a perdu plus de 10% de sa valeur entre le premier janvier et le 11 février. Bien que les marchés aient semblé quelque peu confortables à l’idée de la fin des programmes de QE, ils ont aussi fait passer un message clair : une politique de resserrement monétaire n’est pas une position tenable pour la Fed. Le « succès » de la banque centrale américaine avec le QE, couplé à la faiblesse économique tout autour du monde, a persuadé la Banque du Japon et la Banque centrale européenne non seulement de suivre son exemple, mais ...
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