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La belle époque où l’on pouvait encore collectiviser les pertes

Paul Jorion Publié le 12 février 2009
353 mots - Temps de lecture : 0 - 1 minutes
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Ce texte est un « article presslib’ » (*) Le rejet de la vente de Fortis à la BNP par ses actionnaires est intéressant à plusieurs points de vue. Le premier, c’est la révolte d’investisseurs contre l’intervention d’un État tentant de sauver les meubles. Le second, c’est la mise en évidence du caractère démesuré qu’ont pris les empires financiers par rapport aux États qui les abritent. On pense d’abord à l’Islande engloutie en raison de son secteur bancaire hypertrophié, ou de la Belgique, poids plume financier quand on la compare à sa banque ...
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