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La conduite autonome, une utopie ?

Sylvain Devaux Publié le 02 décembre 2019
732 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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roborevolution

Google, Apple, Uber, Audi, Tesla, Toyota…entreprises liées à l’informatique ou constructeurs, tout le monde y va de son système pour développer la conduite autonome. Si certains aiment faire le buzz, d’autres restent plus prudents en considérant les millions de kilomètres d’essais encore à réaliser. D’autres encore se disent prêts à y passer dès maintenant quand d’autres voient l’échéance à 2030. Reste d’abord à savoir de quel niveau l’on parle. Selon la classification européenne, ils sont au nombre de six. Petit rappel pour s’y retrouver (pas si simple) : Niveau 0 Aucune automatisation : Le conducteur a un contrôle total et à tout instant des fonctions principales du véhicule (moteur, accélérateur, direction, freins). Niveau 1 : Assistance au conducteur : L’automatisation est présente pour certaines fonctions du véhicule, mais ne font qu’assister le conducteur qui garde le contrôle global. Par exemple, le système anti-blocage des roues (ABS) ou l’électrostabilisateur programmé (ESP) vont automatiquement agir sur le freinage pour aider le conducteur à garder le contrôle du véhicule. Le régulateur de vitesse sim...
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