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La crise à l’UMP. Partie 1 : qui est le plus faible de la Ve république ?

Patrick Coquart Publié le 09 juillet 2014
675 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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La crise à l’UMP, c’est bien sûr la fameuse « affaire Bygmalion ». Chaque jour qui passe délivre son lot de révélations, de mises en cause, de rebondissements. Il est donc possible que ce texte ne soit pas à jour, les quelques instants séparant son écriture de sa mise en ligne ayant peut-être donné lieu à de nouvelles informations. Pour faire bref, j’ai compris de cette « affaire » que le coût des meetings de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 dépassait largement le plafond autorisé. Par conséquent, pour maquiller les dépassements de dépenses, une double comptabilité a été mise en place : l’une prenait en compte les coûts minorés, portés sur les comptes de campagne du candidat Sarkozy ; l’autre reprenait « les montants restants, à travers de fausses factures portant sur de faux événements », imputés à l’UMP, selon Jérôme Lavrilleux, directeur adjoint de la campagne de Sarkozy. Jérôme Lavrilleux précise également que la décision de frauder a été prise collégialement, outre lui-même, par Éric Césari, directeur géné...
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