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La destruction de l'économie politique (3).

Georges Lane Publié le 29 octobre 2016
815 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
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A défaut d’avoir l’arrogance de prédire le passé, les hommes de l’état et leurs économistes préférés ne devraient pas détruire, dénaturer, déformer ou, tout simplement, oublier les connaissances acquises comme c’est le cas, par exemple, avec l’étude de ce qu'on dénomme abusivement "monnaie" aujourd'hui (sigle "C.Q.D.A.M.A.). Il en est ainsi tant à l'étranger (cf. ce texte d'octobre 2016) qu'en France. 1. L'oubli du passé. D'un côté, l'usage par les gens de ce qu'on dénomme abusivement "monnaie" aujourd'hui (sigle "C.Q.D.A.M.A.) a contribué, en pratique, dans le passé, à organiser les échanges de choses de toute nature entre les gens, par amoindrissement progressif du "coût des actes d'échange". 2. Le constructivisme. De l'autre, il y a une majorité d'économistes qui s'efforcent d'organiser leurs études, à leur façon, et de construire en théorie les échanges de choses entre pays, états, organisations, etc., peu entre les gens, avec des concepts issus en grande partie de leur imagination, à savoir : - sans faire intervenir C.Q.D.A.M.A. (c'est le cas des hommes de la "théorie de l'équilibre économique général" qui conduit à surestimer le coût des actes d'échange, quand on en tient compte ...) ou - en prenant pour point de départ ce dernier ...
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