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La Fed ne pourra que continuer de prétendre

Thorsten Polleit Publié le 02 novembre 2015
740 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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En attendant Godot est une pièce écrite par l’écrivain irlandais Samuel B. Beckett à la fin des années 1940, dans laquelle deux personnages, Vladimir et Estragon, attendent en vain l’arrivée d’un troisième personnage du nom de Godot. L’histoire n’est pas sans ressembler aux discours de la Réserve fédérale quant à la hausse des taux d’intérêt. Depuis le printemps 2013, la Fed considère une hausse des taux d’intérêt, qu’elle a supprimés jusqu’à les porter à zéro pourcent en décembre 2008. Jusqu’à présent, elle s’en était contentée. Et en regardant la situation de plus près, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi. Avec cette politique de taux d’intérêt zéro, la Fed alimente une expansion artificielle économique et du prix des actifs. Les taux d’intérêt américains, en pourcents Source: Thomson Financial Faire grimper les taux d’intérêt sur le court terme reviendrait à débarrasser le bol de punch alors que la fête ne vient que de commencer. A mesure que les taux grimperaient, la structure de la production et de l’emploi ne pourrait plus être soutenue. Il en irait de même pour les obligations, les actions et les prix de l...
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