Évoquant la perspective d’une sortie de l’euro par l’un de ses pays membres, Jens Weidmann, le président de la Bundesbank, déclare aujourd’hui dans le magazine allemand Capital : « Cela m’agace qu’on puisse jouer avec autant de légèreté avec de telles idées ». Une telle éventualité aurait selon lui « d’importantes conséquences pour nos banques et nos entreprises ». Il aurait pu ajouter pour les finances publiques, car la Grèce et le Portugal, puisque c’est d’eux dont il s’agit, ont désormais pour principaux créanciers les États et le FMI.
Sans attendre la fin de la trêve estivale et la tenue des élections allemandes du 22 septembre prochain, le dossier de la Grèce s’est réinvité dans l’actualité et les cafouillages ont immédiatement commencé. Olli Rehn, le commissaire eu...
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