“Fabriquer des Bitcoins requiert une puissance de calcul de plus en plus phénoménale, et donc des machines particulièrement énergivores. Un impact sur l’environnement qui commence à devenir préoccupant.
Quelque chose de totalement virtuel peut aisément être aussi polluant qu’un pays tout entier.
Car, contrairement aux billets et aux pièces qui sont dans notre poche, le Bitcoin n’a pas d’existence physique, c’est une devise virtuelle, c’est-à-dire qu’elle n’existe que sur Internet, décrypte ce spécialiste. “Elle repose sur un réseau informatique décentralisé de machines, dont le rôle est de valider les transactions entre deux parties, comme le ferait une banque ...
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