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La sanction populaire grecque ne vient pas de la rue

Valentin Petkantchin Publié le 15 février 2012
488 mots - Temps de lecture : 1 - 1 minutes
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Les protestations contre le dernier plan d’austérité grec et les affrontements dans la rue ont fait les manchettes en ce début de semaine, avec 150 magasins pillés, 48 bâtiments incendiés au centre d’Athènes et des centaines de personnes blessées et arrêtées. Pourtant, ce ne sont pas ces actes de violence, bien visibles, qui menacent le plus l’État grec – sur le point d’obtenir une nouvelle aide de 130 milliards d’euros – mais la défiance fiscale et la méfiance de la population vis-à-vis du secteur bancaire qui se « développent en coulisse ». D’une part, sans parler de « panique bancaire », la crainte du défaut de l’État grec et d’une sortie possible de l’euro ont poussé les particuliers et les entreprises à retirer leur argent des b...
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