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Le « chômeur volontaire » et ses ennemis, 1 : solidarité, mais pas trop

Nils Sinkiewicz Publié le 11 juin 2013
779 mots - Temps de lecture : 1 - 3 minutes
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L'INSEE estime à 10,2 % en moyenne le taux de chômage au sens du BIT en France métropolitaine au dernier trimestre 2012. Cela représente une hausse de 0,8 % sur un an. Des chiffres plus optimistes qu'il n'en ont l'air, puisqu'ils ne tiennent compte que des chômeurs de catégorie A, à savoir les personnes sans emploi tenues de faire des « actes positifs de recherche d'emploi ». Si on comptabilise les 4 autres catégories comme le fait Pôle Emploi, à savoir les stages, contrats aidés et autres formations (pour ne citer que ces trois exemples), le taux de chômage atteindrait 19 % au mois de mars 2013. L'heure n'est donc pas à l'optimisme. Les lieux communs sur le chômage volontaire ont, en revanche, de beaux jours devant eux. C'est le sujet de cette série d'articles sur la perception des chômeurs dans notre société et l'idée que les Français se font de leur modèle social. Qu'appelle-t-on « chômage volontaire » ? Avant d'être un lieu commun, l'idée du chômage volontaire est une théorie. Pour les tenants du libéralisme, le chômeur volontaire est la personne qui, pour certaines raisons, juge plus avantageux de rester sans emploi que d'accepter l'offre qui lui est faite. Sur un m...
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