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Le billet d’Hubert : Dette de la France… le début de la fin ? (Suite)

Charles Sannat Publié le 26 mars 2017
1537 mots - Temps de lecture : 3 - 6 minutes
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Insolentiae

Je vous rappelle que le présent billet a été rédigé « en avance », du fait de ma retraite méditative du 8 au 19 mars. C’est pourquoi, tout événement en relation avec le sujet traité, qui serait survenu entre le 3 mars et aujourd’hui, n’est pas pris en compte dans ce billet. J’espère que vous avez profité de cette semaine pour : Douter des informations que je vous ai livrées samedi dernier. Malgré toute l’implication et l’amour que je mets dans la rédaction de mes billets, n’oubliez jamais qu’ils sont le reflet de MA vérité au moment de leur écriture. Remettez-la en cause, elle est faite pour cela. Vérifier, revérifier, corroborer. Mes billets comportent toujours de nombreux liens hypertextes, pour vous permettre d’accéder aux sources qui ont construit mon opinion. Agir… ou ne rien faire. Si vous arrivez à des conclusions différentes de ce que j’ai écrit, faites-vous confiance et croyez en vos réponses. C’est la seule vérité que je connaisse. Nous allons donc, aujourd’hui, aller plus loin dans ce qui fait notre dette. Dans mon billet du 11 novembre 2014, j’écrivais : « Deux dessins valant mieux qu’un long discours, les «crobards» ci-dessous nous permettront, je l’espère, de mieux comprendre ce qui se cache derrière les mots : La dette de la France (selon l’INSEE) : Bien évidemment, le monde politique ne communique que sur les seuls critères de Maastricht. Il en a parfaitement le droit, mais intellectuellement, est-ce bien honnête ? Même sur cette « fausse base », l’endettement « officiel » de la France est pratiquement égal à la totalité (2 000 Mds €) des richesses produites (le PIB). Soyons plus curieux et intéressons-nous maintenant à la structure de notre PIB : Composition du PIB de la France (selon l’INSEE) : On voit parfaitement que la véritable richesse produite au niveau du pays représente moins de la moitié de notre PIB. Le déséquilibre entre cette production et les dépenses publiques montre bien qu’aucune augmentation d’impôt (même massive) ne permettra d’atteindre l’équilibre financier. « Rassurez-vous », il y aura quand même des augmentations d’impôts, taxes et autres prélèvements, mais vous voyez bien qu’ils ne changeront rien à la situation financière catastrophique de notre pays. Résumons : – Sur la base de la communication officielle...
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