(Les Echos)
Selon les créanciers, l’État grec est encore trop généreux avec ses retraités. Selon le FMI, les retraites représentent 17 % du PIB du pays.
Le peuple grec est esquinté par tout ce que M Tsipras a accepté comme « réformes » imposées par le Casino de la Finance.
Les « réformes » ont permis aux conglomérats financiers de mettre la main sur les infrastructures du pays, les ressources naturelles et autres services publics pour une bouchée de pain.
Mais ce n’est pas assez.
Cette « hyper-classe » d’un nouveau genre méprise tous les jours un peu plus les humains et vénère tous les jours un peu plus l’argent.
Ils on tout l’argent du monde? Ils ont tout le pouvoir du monde? Ils ont tous les emplois du monde? Ils ont tou...
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