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Le Cercle Vicieux de la dette publique I : Le pourquoi de la réserve fractionnaire

Gabriel Gimenez-Roche Extrait des Archives : publié le 25 juillet 2011
601 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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Bastiat a oublié quelque chose ! Il y a certes ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas, mais il y a aussi ce qu’on voit mais qu’on fait semblant de ne pas voir : on ne dépense pas ce qu’on ne peut pas payer. La nature dépensière de l’État a été minimisée pendant des décennies grâce aux discours favorables aux interventions coûteuses des États développés occidentaux. Une minimisation fondée surtout sur l’idée illusoire qu’un État ne fait jamais défaut. Cette illusion a été entretenue par des relations viciées entre l’État, sa Banque centrale (BC) et les banques commerciales. Un État ne pourrait jamais faire défaut sur sa dette car il peut en principe faire usage de deux de ses privilèges. Le premier repose sur son monopole de taxation de la population pour obtenir des fonds supplémentaires. Le second vient de son monopole sur la production monétaire. L’État peut toujours créer plus de monnaie pour payer ses obligations. Reste que pour que l’illusion opère, faut-il en...
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