La BCE est parvenue à calmer le marché de la dette souveraine – dont les taux longs restent inabordables pour les pays les plus fragilisés – mais le résultat est moins acquis qu’il n’y paraît. Elle reste par contre impuissante devant la fragmentation du marché du crédit, qui impose dans ces mêmes pays des taux plus élevés aux entreprises. Tout juste, ralentie, la logique de l’éclatement de la zone euro continue de s’exercer, comme Angela Merkel l’a d’ailleurs fait remarquer.
Une forte attente se manifeste à propos de l’examen des bilans bancaires de la BCE, avec l’espoir que le paysage en sortira éclairci. Les estimations des besoins de renforcement des fonds propres du système bancaire varient...
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