Entré il y a bien longtemps dans la politique pour assouvir ce besoin de résoudre les problèmes des autres même quand ils n’en avaient pas, vous y êtes resté suffisamment longtemps pour en connaître tous les rouages, tous les coups fourrés et les manigances sordides. Ayant sacrifié votre vie à votre carrière, vos rejetons, de solides bons-à-rien glandouilleurs, doivent maintenant être casés rapidement ou risquer de devenir d’encombrants fardeaux. Ferez-vous l’erreur d’un népotisme trop visible ?
Pour éviter ce piège, voilà quelques conseils que vous devrez suivre impérativement pour éviter l’écueil de ce favoritisme risqué qui pourrait vous coûter cher médiatiquement.
1.
Le premier conseil est d’évidence mais il fait partie de ces banalités qui doivent être rappelées régulièrement : pour placer votre progéniture aux sommets, attendez tout de même qu’elle ait fini ses études. Si la valeur n’attend certes pas le nombre des années, pour certains postes, il faut tout de même avoir un diplôme ou au moins pouvoir prétendre avoir accompli un cycle d’études complet. On se souviendra des déboires d’un certain Jean Sarkozy lorsqu’il fut subitement propulsé à la tête de l’EPAD (établissement public en charge de l’aménagement du quartier La Défense) alors que son diplôme de droit n’était pas encore tout à fait acquis et qui avait légèrement fait rire dans les journaux, au point de forcer le pouvoir en place à ne pas valid...
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