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Le parasite peut désormais tuer la bête

Paul Jorion Publié le 05 mars 2010
779 mots - Temps de lecture : 1 - 3 minutes
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Paul Jorion.

Ce texte est un « article presslib’ » (*) Une rupture a lieu lorsqu’un seuil est franchi. Repérer de telles limites et observer si elles ont été atteintes constitue la tâche première pour qui veut lire l’avenir déjà inscrit dans le présent. Avant même que la crise que nous subissons ne se déclenche, une limite avait déjà été atteinte : celle du comportement colonisateur de notre espèce dans le cadre de la planète que le sort lui a offerte. Parmi les choses que notre espèce a inventées figure en bonne place la politique de la terre brûlée. Nous prenons la Terre comme elle se présente à nous : nous en extrayons ce qui nous intéresse, nous l’intégrons dans des objets manufacturés et quand ceux-ci ont cessé de fonctionner, nous les entassons à la décharge. La chose importait peu tant que la Terre était si vaste qu’elle nous semblait illimitée et ses ressources, inépuisables. Le moment est venu hélas où elle commence à nous gêner aux entournures. Avons-nous endommagé de manière irréversible son climat-même ? La preuve n’en a pas été apportée de manière formelle mais qu’importe puisque nous en sommes capables et si nous ne l’avons fait déjà, nous...
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