J'ai déjà eu l'occasion d'exprimer ma très nette préférence pour John McCain dans la course à la présidence US, Barack Obama ayant à maintes reprises montré qu'il était un protectionniste acharné, au contraire du sénateur de l'Arizona.
Voici une deuxième série de raisons de ne pas céder au délire Obamaniaque qui s'empare de notre presse, qui n'est pas sans rappeler l'hystérie pro-Kerry qui avait eu cours en 2004. Même si McCain n'a rien d'un candidat idéal, il ne souhaite pas augmenter les impôts mais plutôt réduire les dépenses publiques pour revenir à une situation comptable équilibrée de l'état fédéral. Obama est dépensier et veut augmenter massivement les impôts, notamment sur les tranches élevées. Entre protectionnisme et asphyxie fiscale des forces vives de l'économie, si Obama venait à être élu et à appliq...
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