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Le protectionnisme c’est sale en France, pas en Allemagne qui protège ses entreprises de la Chine !

Charles Sannat Publié le 20 décembre 2018
889 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
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Insolentiae

Mon dieu… le protectionnisme, quelle horreur. C’est immonde, c’est à la fois le retour de la peste brune et des « zeureslesplussombres » sans oublier ce populisme à vomir. Laissez-moi cracher de dégoût par terre à de telles évocations. Cela me donne envie de vomir. Mais non, je plaisante. Enfin, je plaisante, mais pas autant que l’Allemagne de Merkel, Merkel qui, au moment de l’élection de Trump et avant que Macron ne soit hissé au pinacle, avait été bombardée par la bien-pensance mondialiste « leader du monde libre ». Eh bien cette même Merkel, vous savez quoi ? Elle fait du protectionnisme… Sans doute parce qu’elle est un peu moins débile que la moyenne et un tantinet plus pragmatique, sans oublier que la mondialisation, comme prévu, et je l’ai écrit 1 000 fois, c’est très amusant tant que les industries allemandes dominent l’Europe et le monde, mais nettement moins sympathique quand les Chinois rachètent massivement les entreprises… allemandes, pillant ainsi littéralement le savoir-faire et les ressources germaniques. La Chine a d’abord détruit les activités bas de gamme… Puis moyen de gamme, et des pays comme la France et les États-Unis ont été laminés par les délocalisations. Puis dernière étape de la montée en gamme de la Chine, qui se rêve en puissance mondiale aussi bien politique que militaire et évidemment économique, c’est le haut de gamme, et le fait d’aller taill...
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