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Les palpitantes aventures de Jean-Michel Krugman

H. Seize Publié le 20 janvier 2014
1480 mots - Temps de lecture : 3 - 5 minutes
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Aujourd’hui, je vais vous parler, un peu, de Paul Krugman. Ce n’est pas que le personnage soit particulièrement intéressant, mais de temps en temps, je fais preuve de générosité et je décide de consacrer un peu de mon temps à une œuvre de charité. Cette fois-ci, je vais donc essayer d’apporter quelques éléments de réflexion au sujet de celui qui fut prix Nobel d’Économie avant de sombrer corps et âme. Je vous rassure tout de suite : ces éléments ne sont pas destinés à ce brave Paul, qui est maintenant dans une autre galaxie, très très lointaine, et donc inaccessible à toute remarque de bon sens. En réalité, ils s’adressent en priorité aux journalistes, notamment français, qui continuent de voir dans l’ancien nobélisé une espèce de gourou sur lequel on peut appuyer toute analyse imbibée de keynésianisme bien moisi. À la décharge de Krugman, la France a toujours été un paradis pour ses saillies, même les plus ridicules. Avec ses théories consternantes, avec son penchant à gauche parfaitement assumé et totalement irrationnel, et avec ses petits éditos qui tentent régulièrement de camoufler son militantisme socialiste quasi-rabique derrière une fine couche d’économisme de bazar, s’il n’était déjà américain, il aurait été Français et se prénommerait sans doute Paul-Édouard ou Jean-Michel. Et le brave Jean-Michel Krugman aurait eu toute l’écoute des médias « importants » de France qui lui ouvrent déjà leurs colonnes. Le dernier exemple en date illustre à merveille l’obséquiosité dégoulinante qu’ils ont déjà à l’encontre du bonhomme et qui serait sans nul doute décuplée fut-il né Français et baptisé Jean-Michel. En effet, on apprend, de différentes sources aussi sûres que peut l’être la presse française ultra-subventionnée, que l’économiste a flingué (pour reprendre les termes toujours finement choisis de Libération) la « nouvelle politique de François Hollande » dans une récente tribune du New-York Times, le pauvre organe qui lui laisse faire son trampoline militant sur base pluri-hebdomadaire. Notez au passage qu’à chaque fois qu’un article français paraît sur l’éditorialiste, la titraille s’emballe et insère presque systématiquement le « prix Nobel d’économie » qui va bien (chose que se refuseraient à faire les mêmes journalistes s’il s’agissait d’un Hayek ou d’un Mises, ces derniers, provenant du Camp du Mal, ne méritant pas ...
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