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Les palpitantes aventures des chambres de bonne parisiennes

H. Seize Publié le 04 décembre 2015
1260 mots - Temps de lecture : 3 - 5 minutes
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Les politiciens sont des êtres merveilleux qui, à l’instar des leprechauns, des korrigans et des farfadets, bousillent toutes vos solutions en y apportant un problème inventif et rapidement inextricable. Les exemples abondent, mais je vous propose aujourd’hui de regarder l’immobilier. Ici, je pourrais bien sûr m’étaler sur les aventures rocambolesques de la Loi ALUR, malencontreuse production législative d’une Cécile Duflot au top de sa méforme et qui fut l’occasion d’illustrer de façon légendaire le parcours institutionnel moyen dans notre beau pays. On sait maintenant tous, après quelques mois de pratique, les effets tout simplement catastrophiques que l’entrée en vigueur même progressive de cette loi aura provoqué sur l’immobilier français (et l’environnement forestier, la charge de papiers administratifs divers liés à la cession immobilière ayant explosé). Cependant, c’est d’un autre (nouveau) rebondissement dans ce domaine que je voudrais évoquer le temps d’un billet. Pour cela, je vous invite à revenir un peu dans le temps, dans ces années bénies où la France allait si bien et où la majorité d’alors, intelligente et pragmatique, faisait passer des lois bien conçues et drôlement pratiques, et plus précisément en 2002, cette année qui vit un président pourtant parfaitement incompétent se faire réélire avec un score de république bananière grâce à l’élimination du candidat socialiste bien trop falot par le patron du Front National d’alors. Et au début de cette année pendant laquelle la France découvrait l’euro, le gouvernement, toujours aussi finaud, faisait joyeusement passer le décret d’application de la Loi SRU dont les effets, plus de 10 ans après, se font encore douloureusement sentir. Cette loi, rappelez-vous, pose la notion d’habitat décent. On le sait : l’État sait mieux que vous ce qui est décent ou non, et il peut donc, à loisir, le définir et l’imposer à tous. Et le décret d’application de la Loi SRU du 30 janvier 2002 fut justemen...
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