Où va l’argent ? Le nôtre bien sûr, celui que l’administration des impôts nous a prélevé par les innombrables et ténébreux canaux qui sont les siens ? La question peut sembler saugrenue, mais nous sommes en droit de nous la poser. Je dirai même qu’il s’agit d’un devoir impérieux.
D’un côté, nous avons tous constaté l’augmentation sans précédent des prélèvements depuis l’arrivée de François Hollande à l’Élysée. Une augmentation qui fait suite à celle de ses prédécesseurs depuis des décennies, et qui s’ajoute à celle des collectivités territoriales – communes, communautés de communes ou agglomérations, départements, régions – et des organismes dit « sociaux » - Sécurité sociale, organismes de retraite complémentaire, etc. À tous les niveaux, les impôts, taxes, cotisations croissent. Et il semble impossible d’arrêter leur ascension.
De l’autre côté, les déficits se creusent et les dettes gonflent car les dépenses ne baissent pas. Les chiffres ne sont pas encore définitifs, mais l’on parle de 26 milliards d’euros de dépenses publiques supplémentaires en 2013, et d’une augmentation de la dette de 83 milliards d’euros. Une dette qui ...
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