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Maîtres anciens et ses suites

Ronny Ktorza Publié le 10 octobre 2013
695 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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Certains ont peut-être entendu parler, voire lu cette œuvre « maîtresse » de Thomas Bernhard, Maîtres anciens. Ce livre a suscité un tollé, notamment parce qu’il pointait lourdement du doigt le milieu artistique autrichien. Or, tout le monde connaît l’apport de ce pays à l’art. Toutefois, ne nous y trompons pas : Bernhard est bien plus attaché à l’Autriche qu’il peut y paraître. Simultanément, tel que rappelé dans cette courte vidéo, Bernhard se moquait, par l’intermédiaire de son personnage principal, des amateurs d’art qui pouvaient sombrer dans la pseudo-idolâtrie d’une œuvre d’art et la contempler niaisement pendant de longues heures. « Pseudo-idolâtrie » car nombre de ces admirateurs ne sont pas de réels passionnés d’art. Ils visitent des musées pour obéir à une norme et montrer leur attirance pour cette discipline. Il convient néanmoins de préciser que, dans l’œuvre de Bernhard, l’existence du public n’est nullement sous-estimée. Si un auteur ou un artiste produit, c’est en vue de satisfaire les masses. Plus concrètement, dans Maîtres anciens, Thomas Bernhar...
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