Un article de h16 et Baptiste Créteur
L’homme est un animal comme les autres, et les politiciens n’échappent pas à la règle. Si beaucoup ont manifestement choisi le lombric, le crotale ou une bactérie saprophyte comme totem, tous sont entrés dans l’arène politique avec ces instincts animaux sans lesquels il n’est point de survie possible. Et dans ceux-là, certains ont tendance à laisser libre cours plus que les autres à leurs instincts les plus primaires.
Ici, point n’est besoin de s’étendre lascivement sur le cas aussi douloureux que symptomatique de DSK, grâce aux instincts duquel fut précisément élu François Hollande, actuel président qui semble lui aussi en proie à des penchants dont l’impact dans la vie publique du pays reste à déterminer. On aura également en tête les parties fines qui, au même titre que les mallettes de cash, ne sont pas une légende ; on se rappellera les histoires, nombreuses et répétées, qui ont émaillé la vie politique des dernières décennies.
De ce point de vue, on pourra d’ailleurs remarquer qu’une promotion de l’ENA, c’est une promotion canapé inversée (en somme, une promotion énacap) : au lieu de jouer de leurs faveurs sexuelles pour obtenir un poste haut placé, nombreux sont ceux qui n’hésitent pas à jouer de leur poste haut placé pour obtenir des faveurs sexuelles. Il faut dire qu’en moyenne, le diplômé de l’ENA ne peut pas tout miser sur sa musculature bien découplée et son look de jeune premier bronzé sur les courts de tennis, et la diplômée de l’ENA n’a que rarement eu le temps de passer un nombre efficace d’heures dans un salon de relooking, à faire du fitness ou de la zumba en collant rose.
Plus généralement et sans s’appesantir sur cette triste école, le politicien rentre certainement en politique pour de no...
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