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Quel est l’intérêt du gouvernement de légiférer sur les produits d’optique correctrice ?

Marian Eabrasu Publié le 26 mars 2014
674 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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Le billet précédent a analysé la capacité de la nouvelle loi relative à la consommation (dite loi Hamon) à améliorer la concurrence en déréglementant certains secteurs d’activité, comme celui de l’optique correctrice. Nous avions conclu que la nouvelle obligation pour les ophtalmologues d’inscrire l’écart pupillaire sur les ordonnances, non seulement n’est pas une véritable dérèglementation (car les opticiens-lunetiers n’ont actuellement pas un tel monopole), mais qu’elle introduit en outre un nouveau privilège qui avantage directement les marchands de lunettes en ligne. Une question supplémentaire se pose : celle de comprendre quelles sont les véritables motivations du gouvernement pour légiférer sur ces produits d’optique correctrice car – en dépit de ce qui transparait dans les communiqués de presse – ce n’est certainement pas le pouvoir d’achat des consommateurs. En réalité, dans les conditions actuelles, une baisse hypothétique des prix des lunettes laisserait inchangé le pouvoir d’achat des consommateurs, dans la mesure où ils seront remboursés dans les mêmes proportions par les mutuelles priv...
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