Qui va payer pour la crise ? Cette interrogation qui résume tout reste sans réponse définitive, malgré les mauvaises intentions. Les Grecs viennent de mettre les pieds dans le plat en refusant de continuer à le faire, et les dirigeants européens se raccrochent à une solution politique qui n’évitera pas une renégociation des conditions de leur plan de sauvetage. La situation espagnole glisse du bout des doigts d’un gouvernement qui tente de ne pas avoir à accepter un tel plan. Le New Deal de Roosevelt fait progressivement référence, sans être pour l’instant assorti de rien de concret, sauf pour l’instant un catalogue à la Prévert.
Sur le terrain des banques, Jörg Asmussen de la BCE tente de répondre à cette même question en suggérant la création sans attendre d’une bad bank ; elle serait destinée à prendre en charge la totalité des actifs immobiliers espagnol...
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